I'm not gonna cry. Not yet.
Je sens le stress comme une boule dans mon ventre. Je ne vais pas vous faire une demi-tonne de métaphore filée sur ce que l'on ressent lorsqu'on est fatiguée, stressée, prête à tomber. Pourtant, j'en aurais besoin. Mais tant de gens l'on déjà fait avant moi. Juste du recraché, avec un petit plus de poivre et un peu moins de sel. Beaucoup de vinaigre, et un peu d'huile pour faire glisser le tout.
Mes yeux piquent. Mon nez gratte. Et je n'ai pas de mouchoirs à portée de mains. La vie est dure.
J'ai les mains posées sur le clavier. Ça commence à me brûler la paume des mains. Mais je ne les retire pas. Putain de foutue d'envie d'écrire.
J'ai des inspirations, des envies, qui m'avaient quitté depuis trop longtemps, qui reviennent au mauvais moment.
Je n'ai pas un bon timing avec moi-même.
Je n'ai pas de sang sur les mains. J'ai de l'encre plein les doigts.
Certaines choses sont gravées dans le marbre. Et effacée d'un revers de main maladroit.
J'ai acheté deux carnets. Je n'ai pas écrit dedans. J'écris sur des feuilles. Je m'obstine à acheter des carnets.
Ce texte n'arrive à rien.
Mais est-ce que toutes choses amènent à un but ? Est-ce que toutes choses à besoin d'un but quelconque ?
Stop. J'ai l'impression d'être en cours de philosophie.
23h56 dit mon réveil.
Le temps de danser disent mes pieds.
Le temps de pleurer disent mes yeux.
Le temps de manger disent mes dents.
Le temps d'écrire dit mon corps tout entier.
If I don't cry tonight, I will cry tomorrow. Or after. I will cry.
Mes yeux piquent. Mon nez gratte. Et je n'ai pas de mouchoirs à portée de mains. La vie est dure.
J'ai les mains posées sur le clavier. Ça commence à me brûler la paume des mains. Mais je ne les retire pas. Putain de foutue d'envie d'écrire.
J'ai des inspirations, des envies, qui m'avaient quitté depuis trop longtemps, qui reviennent au mauvais moment.
Je n'ai pas un bon timing avec moi-même.
Je n'ai pas de sang sur les mains. J'ai de l'encre plein les doigts.
Certaines choses sont gravées dans le marbre. Et effacée d'un revers de main maladroit.
J'ai acheté deux carnets. Je n'ai pas écrit dedans. J'écris sur des feuilles. Je m'obstine à acheter des carnets.
Ce texte n'arrive à rien.
Mais est-ce que toutes choses amènent à un but ? Est-ce que toutes choses à besoin d'un but quelconque ?
Stop. J'ai l'impression d'être en cours de philosophie.
23h56 dit mon réveil.
Le temps de danser disent mes pieds.
Le temps de pleurer disent mes yeux.
Le temps de manger disent mes dents.
Le temps d'écrire dit mon corps tout entier.
If I don't cry tonight, I will cry tomorrow. Or after. I will cry.

Il mérite bien son libellé ton texte ;)
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé. Je ne dirais pas que c'est de la poésie mais il y a un air poétique. Et légèrement déprimant.