Coq à l'âne.
Petit partage de conneries plus grosse que moi. Enfin. Plutôt un exemple, encore un, qui montres combien je suis en tête en l'air. J'étais sur le point de refaire un blog, sur ce site. Alors que j'avais déjà. Dont j'avais complètement oublié l'existence. Et pourtant, il est pas si vieux que ça. Décembre 2011--> Mars 2012. C'est pas si long que ça. Si ?
Je ne saurais pas dire s'il s'est passé beaucoup de choses depuis.
Noel. Cadeaux de merde. Mais bonne soirée. Même si certains souvenirs et certaines choses m'attrapaient à la gorge.
Nouvel an. Passé avec la famille. Pour changer tiens. Et puis : The episode de SH.
Janvier. Bah. Rien. Que dalle. Nothing. Nada. Rien qui m'ai marqué en tout cas... Ah si. On est entré dans l'année de la "fin du monde."
Et puis l'affaire Megaupload.
Je passe du coq à l'âne mais : pour les bacs blancs dont je parles dans mon premier article. Les résultats font que je suis "reçue". Ça me convient parfaitement.
Ça me fait penser que le grand tournant qui a pus se passer depuis Décembre : parler à ma mère du fait que j e ne savais absolument pas ce que j'allais faire après mon bac. Je ne voulais plus aller en prépa. De toutes façons, c'était déjà plus possible. Et puis j'ai trouvé. Licence ciné. On vise la Fémis. Département Production. J'ai réussi à en parler à ma mère. Je ne savais pas pourquoi j'avais si peur. Je n'avais pas peur d'en parler à ma mère. J'avais peur de l'avenir. Pour une fois. Une véritable fois. Non, ce n'était pas un rêve. C'était loin d'un rêve. C'était la réalité. Celle qui te prends à la gorge. Celle qui te fait trembler. Celle qui te fait pleurer. Celle qui fait ta vie. Celle qui te fait prendre des virages à 180 degrés. Celle qui te fait sortir de tes rêves bien aimés. Celle que tu fuis depuis trop longtemps déjà. Celle-la même, à laquelle tu veux échapper. Tout le temps. Tous les jours. Toujours. Elle était la. Juste devant moi. Elle me narguait. "Vois comme c'est noir. Rien que du noir. Tu ne sais plus. Où tu vas ma vieille hein ? Où tu vas ? Nulle part ! " Et moi, petite créature faible. Naïve. J'ai pris peur. Je n'avais pas l'habitude. Je ne me projette jamais trop loin dans l'avenir. Mais je savais toujours ce que j'allais faire. C'était limpide. Mais la. C'était noir. Je ne savais absolument pas ce que j'allais faire. Et mon esprit pervers. Mon imagination perverse. Celle qui te fait toujours imaginer le pire. Elle-même ne savais pas quoi faire. Parce que je savais pas ce qui pouvais m'arriver si je ne trouvais pas.
Mais j'ai trouvé.
Je me suis posais cette question. La question. Qu'est-ce que tu aimes absolument en ce moment ?
Le cinéma.
La production.
Ça me fait rêver.
Voila une alternative. Confrontée à la réalité. Tout en restant dans ses rêves. Tout ce qui me plaît.
Je ne sais pas ce qu'il s'est passé depuis.
Je ne sais plus.
J'ai oublié.
Rien d'important il faut croire.
A part M qui me fait peur à tomber de son vélo, et se casser la jambe.
Faire attention a bien prendre des notes pour lui donner après.
Entendre la mère de M dire : c'est très gentil de ta part. C'est pas souvent que des gens viennent donner les devoirs comme ça.
Etre surprise. Car on trouve que le fait de venir donner les devoirs, même si on sait qu'ils ne sont pas vraiment regrettés, est tout à fait normal. Et hausser les épaules intérieurement. Ça me fait plaisir. Alors je le fais. Tout simplement.
Et je fais attention. Que tout va bien.
On peut me trouver lourde.
Mais c'est moi.
Alors je hausse les épaules. Et je continue ce que je fais. Et je continue d'être moi. Tout simplement.
Bientôt la fin des vacances. J'avais l'intention de faire pleins de choses. Je n'ai rien fait. Pour changer.
J'avais l'intention de réviser, de travailler, de ranger, de penser. Je n'ai rien fait. Pour changer.
J'ai passé mes jours devant mon ordi. Avachie sur mon lit. Pour changer.
Je n'arrivais pas à m'endormir. Je n'étais pas fatigué. Mais je me réveillais tard. Pour changer.
Alors, voila. A trois jours de la rentrée. J'ai commencé aucuns de mes devoirs. Je ne sais même pas ce qu'il y a réellement à faire pour la rentrée. Pour changer.
Tant pis. Pour changer.
Bon. On va arrêter la pour le "je passe du coq à l'âne."
Je ne saurais pas dire s'il s'est passé beaucoup de choses depuis.
Noel. Cadeaux de merde. Mais bonne soirée. Même si certains souvenirs et certaines choses m'attrapaient à la gorge.
Nouvel an. Passé avec la famille. Pour changer tiens. Et puis : The episode de SH.
Janvier. Bah. Rien. Que dalle. Nothing. Nada. Rien qui m'ai marqué en tout cas... Ah si. On est entré dans l'année de la "fin du monde."
Et puis l'affaire Megaupload.
Je passe du coq à l'âne mais : pour les bacs blancs dont je parles dans mon premier article. Les résultats font que je suis "reçue". Ça me convient parfaitement.
Ça me fait penser que le grand tournant qui a pus se passer depuis Décembre : parler à ma mère du fait que j e ne savais absolument pas ce que j'allais faire après mon bac. Je ne voulais plus aller en prépa. De toutes façons, c'était déjà plus possible. Et puis j'ai trouvé. Licence ciné. On vise la Fémis. Département Production. J'ai réussi à en parler à ma mère. Je ne savais pas pourquoi j'avais si peur. Je n'avais pas peur d'en parler à ma mère. J'avais peur de l'avenir. Pour une fois. Une véritable fois. Non, ce n'était pas un rêve. C'était loin d'un rêve. C'était la réalité. Celle qui te prends à la gorge. Celle qui te fait trembler. Celle qui te fait pleurer. Celle qui fait ta vie. Celle qui te fait prendre des virages à 180 degrés. Celle qui te fait sortir de tes rêves bien aimés. Celle que tu fuis depuis trop longtemps déjà. Celle-la même, à laquelle tu veux échapper. Tout le temps. Tous les jours. Toujours. Elle était la. Juste devant moi. Elle me narguait. "Vois comme c'est noir. Rien que du noir. Tu ne sais plus. Où tu vas ma vieille hein ? Où tu vas ? Nulle part ! " Et moi, petite créature faible. Naïve. J'ai pris peur. Je n'avais pas l'habitude. Je ne me projette jamais trop loin dans l'avenir. Mais je savais toujours ce que j'allais faire. C'était limpide. Mais la. C'était noir. Je ne savais absolument pas ce que j'allais faire. Et mon esprit pervers. Mon imagination perverse. Celle qui te fait toujours imaginer le pire. Elle-même ne savais pas quoi faire. Parce que je savais pas ce qui pouvais m'arriver si je ne trouvais pas.
Mais j'ai trouvé.
Je me suis posais cette question. La question. Qu'est-ce que tu aimes absolument en ce moment ?
Le cinéma.
La production.
Ça me fait rêver.
Voila une alternative. Confrontée à la réalité. Tout en restant dans ses rêves. Tout ce qui me plaît.
Je ne sais pas ce qu'il s'est passé depuis.
Je ne sais plus.
J'ai oublié.
Rien d'important il faut croire.
A part M qui me fait peur à tomber de son vélo, et se casser la jambe.
Faire attention a bien prendre des notes pour lui donner après.
Entendre la mère de M dire : c'est très gentil de ta part. C'est pas souvent que des gens viennent donner les devoirs comme ça.
Etre surprise. Car on trouve que le fait de venir donner les devoirs, même si on sait qu'ils ne sont pas vraiment regrettés, est tout à fait normal. Et hausser les épaules intérieurement. Ça me fait plaisir. Alors je le fais. Tout simplement.
Et je fais attention. Que tout va bien.
On peut me trouver lourde.
Mais c'est moi.
Alors je hausse les épaules. Et je continue ce que je fais. Et je continue d'être moi. Tout simplement.
Bientôt la fin des vacances. J'avais l'intention de faire pleins de choses. Je n'ai rien fait. Pour changer.
J'avais l'intention de réviser, de travailler, de ranger, de penser. Je n'ai rien fait. Pour changer.
J'ai passé mes jours devant mon ordi. Avachie sur mon lit. Pour changer.
Je n'arrivais pas à m'endormir. Je n'étais pas fatigué. Mais je me réveillais tard. Pour changer.
Alors, voila. A trois jours de la rentrée. J'ai commencé aucuns de mes devoirs. Je ne sais même pas ce qu'il y a réellement à faire pour la rentrée. Pour changer.
Tant pis. Pour changer.
Bon. On va arrêter la pour le "je passe du coq à l'âne."

Ton année en licence Ciné va te plaire, j'en suis certaine ! I BELIEVE IN AL !
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