Coup de stress.
J'ai une dissertation de philosophie à rendre pour Vendredi. Je n'ai toujours pas commencé. Je n'ai pas envie de commencer. Mais, je vais devoir le faire.
Hier, journée à Paris. Avec toutes les classes de Terminales. Ça en faisait du monde. J'ai quasiment vu personne.
Je me suis réveillée, le coeur battant. Il y avait quelque chose qui n'allait. J'étais en retard. Avant même de regarder le réveil, je le savais. Je regarde l'horloge, pour voir l'étendu des dégâts. 6h36. Pas habillée. Pas coiffée. Faim. Soif. Sac pas finis. Sandwichs pas fait. Bus à 7h03. Je saute du lit, je ne cours pas afin de ne pas réveillée la mère et le frère qui dorment du sommeil du juste. Trop pour l'un des deux. Je vais voir mon père, levé. Je lui demande de préparer mes sandwichs. Je suis en retard. Je réveil la mère, elle aussi en retard. Moins que moi. Retour dans la chambre. 6h40. Comment ai-je pus mettre autant de temps. Je m'habille, un oeil coincé sur le réveil. Je prépare le sac. La veste. L'Ipod. On prends les écouteurs, pas le casque. On prépare le téléphone. Assez de batterie. Tout va bien. On fourre un livre dans le sac. Je me rends compte que ma respiration s'est arrêtée, ou alors je me suis mise à respirer par a-coups. Je ne sais pas, mais je n'ai plus assez d'oxygène. Une grande, profonde, inspiration. J'ai décollé mon oeil du réveil. On prends son courage à deux mains, et on regarde. 6h50. Je vais chercher mes sandwichs, je me prépare des gâteaux pour manger sur la route. Je prends le temps de me boire un jus de fruits. Merde. Des médocs. J'ai oublié de prendre des médocs. On prends les médocs. Chambre. Sac. Sandwichs/Biscuits/Médocs dans sac. Brosse à dents dans la bouche. Crache. Toilettes. Manteau sur le dos. Écouteurs. Vérifications. J'ai tout. Un au revoir rapide. 7h00. Je cours. Arrêt de bus. 3 min d'attente. Je respire. J'arrive sur la place. Qu'il y des amis. J'attends avec eux. La place se retrouve noire de monde. Les bus. On entre. Place côté fenêtre. Une blague. Je ris.
C'est bon.
Comme quoi, peur/stress/confusion prennent rapidement place. Et repartes très vite.
Heureusement.
Hier, journée à Paris. Avec toutes les classes de Terminales. Ça en faisait du monde. J'ai quasiment vu personne.
Je me suis réveillée, le coeur battant. Il y avait quelque chose qui n'allait. J'étais en retard. Avant même de regarder le réveil, je le savais. Je regarde l'horloge, pour voir l'étendu des dégâts. 6h36. Pas habillée. Pas coiffée. Faim. Soif. Sac pas finis. Sandwichs pas fait. Bus à 7h03. Je saute du lit, je ne cours pas afin de ne pas réveillée la mère et le frère qui dorment du sommeil du juste. Trop pour l'un des deux. Je vais voir mon père, levé. Je lui demande de préparer mes sandwichs. Je suis en retard. Je réveil la mère, elle aussi en retard. Moins que moi. Retour dans la chambre. 6h40. Comment ai-je pus mettre autant de temps. Je m'habille, un oeil coincé sur le réveil. Je prépare le sac. La veste. L'Ipod. On prends les écouteurs, pas le casque. On prépare le téléphone. Assez de batterie. Tout va bien. On fourre un livre dans le sac. Je me rends compte que ma respiration s'est arrêtée, ou alors je me suis mise à respirer par a-coups. Je ne sais pas, mais je n'ai plus assez d'oxygène. Une grande, profonde, inspiration. J'ai décollé mon oeil du réveil. On prends son courage à deux mains, et on regarde. 6h50. Je vais chercher mes sandwichs, je me prépare des gâteaux pour manger sur la route. Je prends le temps de me boire un jus de fruits. Merde. Des médocs. J'ai oublié de prendre des médocs. On prends les médocs. Chambre. Sac. Sandwichs/Biscuits/Médocs dans sac. Brosse à dents dans la bouche. Crache. Toilettes. Manteau sur le dos. Écouteurs. Vérifications. J'ai tout. Un au revoir rapide. 7h00. Je cours. Arrêt de bus. 3 min d'attente. Je respire. J'arrive sur la place. Qu'il y des amis. J'attends avec eux. La place se retrouve noire de monde. Les bus. On entre. Place côté fenêtre. Une blague. Je ris.
C'est bon.
Comme quoi, peur/stress/confusion prennent rapidement place. Et repartes très vite.
Heureusement.

Tiens on dirait moi quand je stresse et que tout finit par s'arranger.
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